Nom: Valentine
Prénom: Vincent
Âge: + de 1000 ans
Sexe: Masculin
Race: Âme Damnée, fantôme
Poste dans l'école: Co-directeur
Pouvoir:
Capacité de se dématérialisé, de devenir impossible à toucher, tout comme les fantômes typiques. Le feu.
Histoire:
L'automne venait tout juste de commencer. Parmit le vert, l'orange était apparue, ainsi que le rouge et le jaune, rendant la forêt entourant son magnifique château ancien abselument ravissante. C'était tellement beau et nombreux étaient les matins où il s'y rendait, à dos de destrier, parcourant des heures entières les sentiers de terre serpentant à travers les bois. Un véritable paradis. Tellement tranquille, tellement appaisant, tellement beau ! Qui aurait cru que le mal se cachait dans un endroit aussi merveilleux ? Pas lui en tout cas, pas Vincent Valentine, jeune héritié d'une grande fortune.
Ce fut peut-être sa jeunesse, et l'impudence qui vient avec, qui fut le déclencheur de toute cette mascarade. Une chose cependant était sur, il fut bien malchanceux malgré tous les cadeaux que Dieu lui avait donné. Il était si heureux, dans son immence manoir, avec son épouse avec qui il venait tout juste de se marier et l'enfant qu'elle portait en son sein. Qu'espérer de mieux ? Tout ce qu'un homme pouvait désirer, il l'avait eu, il avait eu la chance de l'optenir sans aucune difficulté. La vie était trop belle pour lui, ce fut peut-être pour cette raison que le malheur s'abbatit soudainement sur lui et sa famille tout nouvellement construite et non sur celle d'un autre ?
Ce jour là, ce matin d'automne, le soleil se faisait fuyant, semblant vouloir se dissimuler derrière les nuages de plus en plus grisâtres, comme s'il avait peur, comme s'il voulait éviter d'assister à quelque chose. Vincent aurait du voir un signe dans ce temps sombre, dans cette astre lumineux effrayé. Mais il était si insconsient, il ne remarqua aucun des avertissements que Dieu lui lança. Sur son grand cheval couleur de sable, il s'aventura donc sur les sentiers, tellement parcourues et connues, dans ce petit bois qu'il trouvait si beau. C'est pendant cette excursion qu'il l'appercus, tel un ange venus se pauser sur la terre souillé ou vivait les hommes et les animaux. La pauvre semblait démunie, portait des loques, était pieds nus. Et pourtant, jamais il n'avait vu femme plus belle. Ses longs cheveux d'ébènes n'avaient pas été abimés par le temps, comme s'ils étaient éternels. Sa peau de cuivre semblait avoir été concus dans la plus douce des soie et ses lèvres, si rouges, si pleines, elles ne faisaient que l'appeler sans cesse aux baisers et à la luxure. Sans crainte, sans doutes, sans méfiance, il invita cette charmante créature à l'accompagner jusque dans son manoir. Pas un seul instant, ses yeux aveuglés par tant de beauté ne virent que cette femme était justement trop ravissante, trop éblouissante pour appartenir aux êtres humains.
Elle passa la nuit dans son château... Et dans ses bras, alors que quelques chambres plus loin, une pauvre épouse dormait, paisiblement, sans se douter que son mari venait de la tromper. Ce qui se passa ensuite ? On l'apprit bien plus tard, sous forme de rumeurs, de murmures effrayés, parlant de cette sorcière faucheuse d'âme...
Selon les histoires qui se racontèrent de père en fils, le château aurait été retrouvé brulé et détruit au petit matin. Il ne restait plus rien de l'imposante demeure avec ses nombreuses tourelles, sauf peut-être quelques ruines sur le point de s'effrondrer. Où était donc les habitants ? Après une semaine complètement de flames difficiles à éteindrent, comme possédées, on retrouva la femme du noble... Empalé sur un pieu qui lui traversait l'entièreté du corps, de l'entrejambe jusqu'a la tête, sans aucunes marques de brûlure. Son ventre avait été ouvert, rendant encore plus atroce ce masacre, et l'enfant, encore en plein développement, avait été pendu avec son cordon, juste aux côtés de sa défunte mère. Les serviteurs et les cuisiniers eux ne furent retrouver qu'en partit. Leur corps étaient là, morts, cloués aux derniers murs encore debout, mais leurs têtes avait toutes, sans exception, disparue...
Vincent Valentine lui ? On ne trouva pas trace de lui dans les ruines, ni dans la forêt autour. Son corps ne fut donc jamais retrouvé, peu importe le nombre d'heures que les habitants le cherchèrent... Mais quelques années après le désastre, des enfants et des viellards prétendirent avoir entendu les lamentations de Vincent. Ils avouèrent même l'avoir vu roder entourer d'une cabe rouge sang, ausi pâle qu'un cadavre, dans ce qui fut jadise son château. Une âme damnée, une âme en peine ne pouvant quitter le royaume des mortels, voila ce qu'il était devenu, destiné, à jamais, à parcourire ce monde, sans jamais avoir de répit. Hanté par le souvenir de son épouse, de ce fils qu'il n'auras jamais appris à connaitre mais qu'il aimait pourtant déjà, punit de son infidèlité. On prétend qu'après des siècles à parcourire les lieux ou ses souvenirs étaient les plus présents, il s'éloigneras finalement le plus possible des humains, des endroits qu'il avait tant aimé, cherchant à trouver la paix dans l'oublis puisque la mort se refusait toujours à l'emmener dans ses grands bras sombres....
Caractère:
Ahhh nostalgie quand tu nous tient ! Vincent vit dans le passé, chaque minutes de sa vie. Il n'est donc pas rare de le voir, encore et encore, parler de son épouse décédée, de son fils mort, de ses serviteurs masacrés. Il ne sait pas rire et il ne sait pas s'amuser, trop opressé par les souvenirs du passé. Lasse de la vie, il est du genre très suiccidaire, sans pour autant passer à l'acte. Dison qu'il a tellemet essayer de se tuer par le passé qu'il a finit par comprendre que sa vie était voué à l'éternité et la souffrance perpétuelle. Le voir se moquer des autres n'est pas rare, défaut de jeunesse qu'il à gardé. Cependant, il peu se montrer très intelligent et logique quand il le faut.
Physique:
Mesurant 1m78, Vincent est ce qu'on pourrait appeler un beau ténébreux. Cheveux sombres allant jusqu'au bas du dos, il s'enroule souvent un foulard rouge autour de la tête, histoire de racourcir un peu sa crinière qu'il ne peu malheureusement plus coupé, destiné à rester dans l'apparence d'une jeune homme de 23 ans jusqu'a la fin de ses jours. Sa peau est très pâle, tout simplement parce qu'en réalité, c'est un cadavre, un fantôme. Son coeur ne bat pas, il ne respire pas il ne mange pas, il est comme un pantin doté d'une conscience et de mouvement. Ses yeux vont de pair avec ses cheveux, tout aussi noirs, et il porte très souvent une genre de cape rouge présente pour lui rappeler tous le sang versé par sa faute.
Aime: Sa femme, son fils, ses serviteurs, tous morts d'ailleur. Se lamenter, et il le fait très bien en passant. Parler du passé, se plaindre à qui veux l'entendre.
Aime pas: .... Euh, les gros pervers comme Cerbère ¬¬