Découverte de son lieu de ''travail'' [Cerbère]

Ça n'avait pas du tout été difficile pour la beauté fatale qu'était Gabriel pour trouver l'infirmerie. Aborder quelqu'un, un vrai no-name, lui faire quelques sourires gentils, quelques yeux de biches et finalement lui demander la direction et op ! le tour était jouer. C'était si facile de mettre n'importe qui sous son charme et de manipuler. Après tout, il était parfait, il avait un corps de rêve, alors il ne se gênait pas pour l'utiliser et se montrer. C,est donc après quelques minutes de marche à peine qu'il ouvrit la porte de l'infirmerie, son nouveau lieu de travail... Ou il ne ferait abselument rien. Comme s'il allait réellement perdre son temps à aider des minables sans intérêts.

-Eurk..

Fit-il, légèrement dégoûté en voyant l'infirmerie. C'était évident que personne n'y était entré depuis longtemps. Il y avait même de la poussière sur les étagères.

*Cette endroit n'est pas digne de ma beauté, c'était beaucoup mieux le Paradis*

Malgré son dégoût profond pour cette endroit si peu digne de lui, il se risqua quand même à avancer dans l'infirmerie.

Alors qu'il revenait d'un entretient avec Onyx, Cerbère passa devant la porte de l'infirmerie, qui était ouverte, pour la première fois depuis longtemps. Il stoppa net dans sa marche qui était assez rapide et regarda à l'intérieur, pour y découvrir un vrai canon, mais faisant la grimace. Sans plus attendre, voyant là une opportunit des plus intéressante de se faire une chouette baise rapide, il entra, refermant la porte derrière lui.

- Salut ma biche. Tu ne devrais pas tirer cette tête, ça ne t'embellit pas du tout.

Il se rappelait de lui, ayant vu sa photo dans le dossier des nouveaux arrivant. Il lui avait tout de suite trouvé ce joli surnom qui lui allait si bien. Déjà très entreprenant, il s'approcha du jeune homme, posant une main sur son entrejambe et le poussa en avançant continuellement jusqu'à un lit. Ayant remarqué son dégout pour la poussière, il la fit disparaitre d'un coup de vent et se retrouver à terre, pouvant maintenant y allonger sans grande douceur sa proie.

- Mmm, j'imagine que tu sais déjà que tu es atrocement désirable, ma biche. Je crois que je vais me faire un plaisir de te baiser nuit et jour. Ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de la chaire fraiche de qualité !

Ouais, il devrait faire un jolie coup de ménage s'il voulait pouvoir rester ici pour faire semblant de travaille... Bien sur, ce n'est pas vraiment lui qui ferait le ménage, il pourrait s'abimer les mains ou se couvrire de poussière. IIl allait donc devoir se trouver un jeune imbécile et le draguer pour ensuite lui faire faire n'importe quoi, comme le ménage par exemple ! Bref, alors qu'il regardait l'étendue des dégats, il entendit soudainement la porte se refermer. Ah ? Il y avait des coups de vent ici ? Doutant un peu beaucoup de son hypothèse, il se retourna pour... recevoir une main sur l'entre-jambe. Gabriel ne paniqua pas du tout, après tout, il était un canon, on lui avait déjà fait des avances poussés.

-En effet, je suis atrocement désirable.

Fit-il, LÉGÈREMENT vantard, couché sur le lit.

-Mais malheureusement mon cher, ce n'est pas du tout ton cas.

Soudainement, il disparue de sur le matelas pour réapparaitre devant la porte qu'il ouvrit comme si de rien était.

-Je suis de la ''chair'' de qualité. D'une qualité beaucoup trop élevé pour toi en faite, alors va te chercher quelqu'un de ton niveau, pauvre minable.

Gabriel était capricieux, il était également difficile. En ce moment, alors qu'il s'apprêtait à s'en aller, il ne savait pas du tout qu'il était en face du directeur. Mais de toute manière, aurait-il agit différemment ? Pas du tout. Il se croyait supérieur à tous le monde, peux importe qui c'était.

L'Attitude du jeune homme était des plus amusante. Il n'avait jamais vu quelqu'un aussi imbu de sa personne il lui semblait. Alors qu'il s'apprêtait à se coucher sur lui, il le vit disparaitre, pour réapparaitre devant la porte.

- Oh que c'Est amusant, un téléporteur ! Je n'avais pas remarqué ça dans ton dossier ! Ah mais oui, c'est vrai, je me suis arrêté à la photo. Je n'ai pas eu "le temps" de lire davantage...

Maintenant couché sur le dos, sur le lit, il regardait d'un air suffisant sa proie. Il pouvait bloquer ses pouvoirs quand il le voulait, alors il n'avait pas à s'inquiéter de le voir menacer de partir. D'un geste nonchalant de la main, il fit refermer la porte à clé, sans aucune possibilité de l'ouvrir, et dressa un barrière d'isolation à une profondeur de deux centimètre dans les murs, le plafond et le plancher.

- Alors la gazelle, tu as vraiment l'intention de t'en aller quelque part ? Tu me ferais de la peine tu sais. Et faire de la peine au Big Boss, ce n'est jamais une bonne chose, surtout pour ton si joli visage.

Gabriel lança un coup d'oeil vers le démon en entendant parler de ca photos. Deux options lui venait en tête. Soit il était tellement beau et désirable qu'on avait pas du tout envie de lire sa fiche tellement on restait accrocher à la beauté de l'image. Soit l'autre imbécile était tellement arriéré qu'il ne savait même pas lire. Les 2 solutions étaient très problable, mais sa vantardise pencha pour la premiere. Ce fut alors que la porte se ferma soudainement devant lui. Télékinésie ? Quoi qu'il en soit, même s'il essayait de tourner la poigner, elle ne voulait plus du tout ouvrire. ll essaya également de se téléporter à l'extérieur de la pièce, mais là aussi, il échoua.

-Je vois. La chose affreuse et sans classe que tu est as le rôle de directeur.

Fit-il en s'accotant contre la porte. On lui avait vaguement parler du big boss, et on lui avait également dit de s'en méfier. Mais bon, il était parfait, il était magnifique, personne ne pouvait le blesser.

-Et oui, j'allais partir mais il semblerait qu'un imbécile de première est bloqué et isolé la pièce.

Il n'avait pas du tout peur et ca se voyait. Beaucoup trop orgueilleux et supérieur pour craindre qui que se soit.

-Et sache que je sais me guérir moi-même, alors mon si jolie visage ne peu pas rester abimer longtemps.

Son regard envers le directeur étendue sur le lit n'avait pas changer une seconde, il était toujours aussi hautain.

Se rasseyant soudainement, il sourait grandement.

- Alors tant mieux, je n'aurais pas trop peur de t'abimer comme ça !

Se relevant vivement, il envoyant une boule de feu en plein sur le jeune homme, mais l'éteignit à quelque millimètres avant le contacte, juste pour lui faire peur. Il avait ainsi eut le temps de s'approcher rapidement. Les bras maintenant de chaque côté de la tête de l'ange déchu, il avait son visage proche du sien.

- Et oui, l'imbécile que tu vois, comme tu le dis si bien, est ton directeur. Et il exige un peu plus de respect de la part d'un de ses objets... oups, je voulais dire employé, je m'excuse.

Bien sûr, il était loin d'être désolé, mais piquer l'orgueil du jeune homme serait sûrement un jeu des plus intéressants. Levant une main, il vint faire glisser un de ses ongles de 10 centimètres sur la joue de sa victime, lentement, la faisant saigner, souriant toujours autant.

- Alors ma biche, tu nous fais une démonstration ?

L'ange n'avait même pas bronché en voyant la boule de feu arriver sur lui. Il contrôlait l'air, donc pouvait facilement éteindre ses vêtements s'ils prenaient feu. Son pouvoir de guérisson lui était extremmement développer. Même si son corps aurait été brulé au complet, ses cheveux inclus, il aurait pu redevnir totalement normal aprêt seulement 5 minutes. Il était un ange après tout, guérir était leur pouvoir principal. Gabriel ne broncha pas plus lorsqu'il vit le démon à quelques cm de lui à peine. Il se contentait de rester accoté contre la porte, le regardant toujours comme s'il n'était rien en comparaison avec lui.

-Vraiment, minable comme attraqtion. Une boule de feu, jamais vus aussi commun.

Il ne répondit même pas lorsqu'il se fit traiter d'objet, n'en voyant même pas l'intérêt, cependant il n'aima pas trop sentir l'ongle abimer sa peau.

-Une démonstration ? Mais bien sur !

Soudainement, même si son visage restait très hautain et supérieur, il donna un violent coup de genoux dans l'entre-jambe du démon. Suite à cela, il passa vaguement un doigts sur sa joue et la blessure disparue aussitôt, comme si elle n'avait jamais été là.

-Satisfait de la démonstration ?

Fit-il alors qu'un léger sourire moqueur se dessinait sur ses lèvre pâles.

CErbère ne bougea pas en sentant le coup. En fait, masochiste comme il l'était, il était carrément en train de savourer cette douleur qui emplissait tout son bas venter et qui remontait lentement.

- hann, oui, très satisfait. Maintenant, tu viens carrément d'Exciter ton cher directeur !

Effectivement, il était désormais bandé et ne perdit pas un instant pour venir plaque son entre jambe entre les cuisse du jeune homme. CElui-ci éait d'ailleurs tellement léger pou lui qu'il n'eut aucune difficulté à le hisser sur ses hanches, et à commencer à arracher nonchalamment ses vêtements.

- Vous êtes une proie des plus amusantes, cher. Je crois que je vais me faire beaucoup de plaisir en Votre compagnie. Mais puisque Sa Majesté n'est pas sifacilement impressionnable, tentons quelque chose d'autre.

Sourire carnassier aux lèvres, il posa ses deux mains sur la taille de Gabriel, à plat. Il allait utiliser un joyeux mélange de plusieurs magie. On allait voir ce qu'il dirait après cela. En fait, regardant le visage du jeune homme, un grand sourire aux lèvres, il enterprit de le faire brûler de l'intérieur. En fait, il ne l'était pas vraiment, ses tissus ne se déterioraient pas, mais il sentirait la chaleur monter. En fait, Cerbère faisant monter la température de l'eau ainsi que de l'oxygène présent dans le corps accoté au mur. Il avait l'intention de l'amener au point d'ébulltion, et de voir ce qui se passerait ensuite. Le pire, c'est que ce n'était que pur amusement pour lui.

De l'exciter ? En lui donnant un coup de genoux dans les parties génitales ? Gabriel osa un sourcil perplexe avant de tout comprendre; il venait apparemment de tomber sur un masochiste de première, et un débile par la même occasion. Aimer la douleur, c'était vraiment la chose la plus conne qu'il est jamais vus. Son regard reviens quand même hautain lorsqu'il sentait l'autre bander comme un taureau le hisser sur ses hanches. Comme s'il allait se laisser faire aussi facilement.

-Je crois t'avoir dis que tu n'étais pas digne de moi, alors retirer tes sales pattes de sur mon magnifique corps pauvre minable.

Mais alors qu'il disait ca, une légèrement pointe de colère dans ses prunelles grises, il sentit les mains du directeurs se poser sur lui... Puis ensuite une chaleur, à l'intérieur de lui. Qu'est-ce qu'il était entrain de faire ? Apars lui enlever ses vêtements ? Gabriel ne savait pas trop, on avait jamais utiliser se genre de chose sur lui, la seule chose qu'il savait, c 'était qu'il avait quelque peu de la difficculter à respirer. Ayant toujours son pouvoir de téléportation, il l'utilisa rapidement pour s'éloigner du démon. Il n'avait pas quitter la pièce, mais au moins, il n'avait plus ses mains sur lui.

-Qu'est-ce que tu m'as fait ?

Demanda t-il en appuyant une main contre le mur, utilisant son pouvoir d'air pour refroidir l'air autour de lui. Il se sentait étourdit, comme si son cerveau avait surchauffé.

Cerbère sourit, il avait réussit son coup.

- Alors, impressionnée, ma biche ? C'est pas confortable hein ! On n'aime pas ça, hein !

Son sourire carnassier étirait encore son visage. En fait, il se sentait très victorieux de pouvoir admirer la réaction du jeune homme. Il était très prévisible que celui-ci ce soit téléporté, c'est pourquoi il n'était aucunement surpris.

- Je me suis juste amusé. Te faire chauffer de l'intérieur c'est très divertissant, tu ne trouves pas ? Remarque, je penses que tu aimerais mieux brûler d'un autre façon. Mais tu semle ne pas vouloir que je te fasse ce plaisir. C'est bien dommage, n'est-ce pas.

Se donnant une mine faussement triste, il n'arrivait pas à faire partir son sourire. Il s'amusait trop à jouer à la chasse avec sa proie. Le surnom ne fevait pas avoir été donné au hasard. il avait du sentir dès le début que cet ange déchu agirait comme une vierge effarouchée, au même titre qu'un animal en fait.

- Mais ce qui est encore plus dommage, pour toi en fait, c'est que je n'ai rien à foutre de ce que tu peux vouloir. Alors même si ça doit me prendre des siècles, je ne sortirai tout simplemnt pas d'ici, toi non plus d'ailleurs, avant d'avoir pu me taper ton joli petit cul de vaniteux.

Sans plus attendre, il se dévétit au complet dignement, exposant fièrement son corps à la vue de l'autre.

- Alors, prêt à jouer ?

Gabriel lança un regard assasin au démon. Impressionné ? Abselument rien ne pouvait l'impressionné venant du directeur, sauf peut-être sa très grande et très flagrante stupidité. Il l'avait fait bruler de l'intérieur, et alors ? N'importe qui contrôlant l'air ou le feu aurait pu faire ça, ce n'était pas si exceptionnel. Alors que sa tête commençait enfin à arrêter de tourner, il remit calmement ses cheveux en place, comme s'il n'en avait rien à foutre de ce qui venait de ce passer, ce qui était totalement le cas en faite.

-Sache que coucher avec toi ne serait pas du tout un plaisir, tu n'est nullement intéressant.

Il ne broncha pas en voyant l'autre se déshabiller. Vraiment, son attitude était totalement pathétique et sans classe. Vraiment minable.

-Mon jolie petit cul n'est pas fait pour les roturiers dans ton genre, alors tu va rester ici longtemps. Crois-moi.

Remettant en place ses vêtements légèrement défait, il lança un regard pas du tout impressionné sur le corps de Cerbère. Il était beaucoup plus beau que le démon, alors pourquoi s'impressionné quand on avait déjà vu le corps le plus magnifique de ce monde ?

-Et Je ne suis nullemment intéressé à jouer avec toi, peu importe le jeu.

Fit-il en croissant les bras. Il était orgueilleux, il ne laisserait pas l'autre le toucher. Il n'était pas digne de toucher à l'être parfait et magnifique qu'il était.

LE sourire du démon ne le quittait pas. Quelqu'un aussi imbu de sa personne et désabusé de tout, c'était rare à voir, mais des plus amusant.

- Hey, Starlette, redescend de ton nuage ! Tu semble vraiment t'Avoir en très haute estime, n'Est-ce pas ?

Rapidement, il s'approcha du jeune homme et vint saisir brutalement sa chevelure de feu, voulant bien entendu lui faire légèrement mal au passage.

- Il va falloir que tu te dégonfle l'égo. Tu semble avoir oublié que si je reste ici, tu y reste éaglement ! Et puis, cesse donc de te trouver si irrésistible. Tu es trop maigre ! Le jour ou tu auras de vrais courbes délicieuse, tu pourra peut-être commencer à prétendre être beau. En attendant, mange un peu, sac d'os. Et ne te fais pas d'illusion, ce n'Est pas parce que tu es beau que j'ai envie de toi, mais parce que ton séant est très intéressant à mes yeux.

Le geste accompagnant les paroles, il vint glisser son autre main sur le fessier, caressant d'abord, puis massant et empoignant, glissant ses doigt entre les deux courbes de chair, autant que le tissu lui permettait de le faire.

Aucun son ne franchit ses lèvres lorsque ses doigts du directeur attrapèrent soudainement sa magnifique chevelure même s'il avait quelque peu mal. En faite, la seule chose qui prouva qu'il avait bel et vien ressentit quelque chose fut un léger froncement de nez et une toute petite moue à peine visible. La réplique concernant son apparence le fit presque plus réagir que la prise sur ses cheveux.

-Si tu veux à ce point des courbres, pauvres minable, va dont te chercher une femme au lieux d'essayer de baiser des hommes !

Gabriel se sentait vaguement, beaucoup en fait, blesser dans son orgueille. Ce démon était bien le premier à le trouver imparfait... Il devait être aveugle, ou avoir un sérieux problème mental. Aucune autre solution n'était envisageable et possible. L'ange se savait magnifique, il avait été créer par Dieu pour être parfait. Donc, c'était totalement impossible que qui que se soit lui trouve un défaut au niveau du physique. C'était surment un moyen utilisé de la part du démon pour essayer de le faire frustrer.

-J'ai dis que tes pattes disgracieuses et sans aucune douceur n'avaient pas le droit de se poser sur moi. Ma peau est douce et sensible, alors n'y touche pas avec tes mains rudes.

Sans prévenir, il se téléporta de nouveau le plus loin possible de Cerbère. Il n'était pas du tout intéressé à faire quoi que se soit avec le démon.

Un sourire encore beaucoup plus victorieux s'afficha sur son visage alors qu'il entendant la réponse mordante du jeune homme, et le voyait se téléporter encore. Il resta à distance cette fois-ci.

- Oh, qu'y a-t-il ? Monsieur je-me-pense-parfait-et-je-vous-emmerdre se sent tout tristounet ? Oh, attend un peu, je vais pleurer avec toi, ça ne sera pas long.

Pour pousser un peu plus l'insulte, il pointa son visage de son doigt et commença à faire couler de fausses larmes. Il les assécha rapidement, pour se remettre à rire sans gêne. Toujours nu, il commença lentement à s'approcher encore de sa proie. C'était fou ce qu'il pouvait trouver amusant le fait de courir après lui ainsi.

- Le pauvre petit chérubin n'aime pas se faire toucher par mes mains si rude. Ta peau est vraiment sensible. Mais je te ferais remarquer que tu es dans les profondeurs de l'enfer ici. Il n'y a aucune place pour la délicatesse. Si tu n'étais pas fait pour la dureté, tu n'avais qu'à resté sur terre, ou t'arrenger pour ne pas être expulsé de ton charmant paradis !

Maintenant à nouveau en face du jeune homme, il plaça à nouveau sa main sur l'entre jambe de celui-ci.

- Et je ne veux pas de femme, parce qu'il leur manque ceci !

La lueur de colère dans les yeux argent de l'ange se fit encore plus grande. Comment osait-il se moquer aussi ouvertement de lui ? Surtout qu'il n'y avait aucune raison réelle de se moquer de l'ange. Il était parfait, il savait qu'il n'était pas maigre du tout et qu'il n'avait aucun poids à prendre. La perfection incarné, le plus beau de tous les anges. Et son succes auprès de tous le monde le prouvait bien. C'était ce démon qui avait un problème, sans doute était t-il vezer qu'il ne veuille pas de lui.

-On, quel dommage. Elle n'on pas ca ?

Fit-il en venait également enrouler ses doigts fins et agiles autour du membre tendue du directeur. Pile au moment ou il fesait ça, il avait rapprocher son visage du sien, mêlant étroitement leurs souffles.

-Alors trouve toi un hermaphrodite, pauvre idiot.

Il se téléporta à nouveau loin du démon, pas très intéressé à être en contact avec lui. Le toucher le dégoûtait un brin, il avait même sortit un mouchoir pour essuyer sa main entrer en contact avec la ''chose'' du démon.

-Et C'est faux. Ma place est ici, mais elle n'est pas entre tes mains à toi.

Sa réponse était définitive; il ne coucherait pas avec le directeur. Jamais il ne laisserait quelqu'un d'aussi peu digne de lui le souiller peu importe la manière.

'Saccotant au mur, il le regardait s'essuyer les mains. Trop comique, une véritable sainte nitouche.

- Tu sais, avec ton air de petite salope, garce et aguicheuse, tu ne peut vraiment pas te permettre de refuser quoi que ce soit. Si j'ai envie de toi, je t'aurais, ne t'inquiète pas. Dis-toi que pour l'instant je ne fais que jouer avec tes nerfs. Une fois que j'en aurai assez, je n'aurai aucune difficulté à te violer, tu peux me croire sur parole.

Sourire suffisant aux lèvres, il ne se gênait pas pour détailler avec insistance le corps de sa petite gazelle.

- Tu sais, ma biche, tu as oublié un truc. Tu as beau être quelque peu légèrement désirable, mais tu n'Est pas très brillant. Les ermaphrodites, ils peuvent avoir ce trou répugnant et tout mouflasque entre les cuisses, et en plus, ils ont toujours ces sacs tout aussi mous qui leur pendent du torse. Tu penses sérieusement que j'ai envie de toucher à ça ! Par contre, sentir tes mains sur mon membre à été un réel plaisir, je peux te le garantir.

Effectivement, des doigts si fin et si doux, ça ne laissait personne indifférent. D'ailleurs, sa verge avait encore un peu gonflé, gagnant en taille même.

- Mais, comme je disais, tu ne semble pas avoir compris ma remarque. Ton ventre est un peu trop renfoncé et on voit tes côtes, j'en suis sûr. Avec un brin plus de protéines dans ton alimentation, alors là je pourrais te considérer comme parfait. D'ici là, désenfle-toi la tête, c'est vital.

-Quoi ?!?

L'ange était soudainement piquer au vif. L'autre débile doutait de sa magnifique beauté ? De sa perfection ? Et bien il pouvait lui prouver qu'il était la perfection réincarnée.

-Je suis P-A-R-F-A-I-T ! Chaque partie de mon corps est parfaite, sans aucun défaut ! Mon ventre inclus

Légèrement furieux de ne pas se faire croire, il s'approcha soudainement du démon, ne mesurant pas trop les riques de son geste, ne se souciant guère de la menace de viol. Arrivé devant lui, se foutant complètement de la nudité de l'autre, il lui attrapa les mains pour les glisser son se chemise. S'il touchait, cette imbécile de démon verrait bien qu'il n'était pas maigrichon. Il était parfait son ventre, ferme et même très légèrement musclé.

-Tu vois ? Et j'ai même ca !

Sans prévenir, il fit apparaitre dans son dos ses 2 ailes d'anges déchus. Elles étaient sombres, d'un noir parfait aux quelques reflets argentés. Ses plumes étaient apparemment les plus douces du monde.

Cerbère se laissa saisir la main, avec un plaisir évident. S'il continuait à faire enrager l'ange ainsi, peut-être finirait-il même à se fouter nu devant lui, voire même plus. C'était très intéressant comme perspective. Comme s'il évaluait la marchandise, il caressait le ventre sous la chemise, remontant parfois au torse, tatônnant.

- Mouais, pas si pire, mais je persiste à dire qu'il en manque un peu. Ce n'Est pas grand chose, mais il en manque. Désolée de gache ton plaisir !

Observant un peu plus attentivement les ailes, il sourit encore plus. Il adorait ces petites choses avec des plumes. Elles étaient facilement arrachable. Contournant donc le jeune homme, il vint les caresser doucement, avant d'en saisir une qui l'intéressait particulièrement et de lui enlever, puis de s'éloigner.

- Oui, jolies petites ailes. Mais maintenant qu'il en manque une partie, elles ne sont plus parfaites ! Peu importe, tu veux en voir des ailes ? Je vais t'en montrer des vrais.

Gardant ses yeux fixés sur l'ange déchu, sourire suffisant aux lèvres, il se muta dans sa forme de démon, déployant ses ailes imposantes.

L'ange fut presque outré en l'entendant dire qui lui manquait du poids. Qu'est-ce qui clochait dans la tête de se débile ? Il était PARFAIT ! Qui avait t-il de compliquer dans ce mot ? Dieu ne fesait jamais d'ange laid, ils étaient tous parfait sans exception et Gabriel était le plus réussit de tous. Une caresses sur ses ailes le tira de sa colère intérieur et il du retenir un frisson de plaisir. Les ailes des anges étaient reconnus pour être très sensible... Raison pour laquel il sursauta en sentant une plume lui être arracher. Par chance, la douleur ne resta pas longtemps. A peine quelque seconde et une nouvelle plume avait remplacé la première.

-Non, elles sont toujours parfaites.

Par pure sécurité, alors qu'il se retournait pour voir la métamorphose du démon, il fit disparaite ses ailes. On ne savait jamais avec un malade comme Cerbère dans le coin.

-Mouais, je hais les chauves-souris. Tes ailes sont comme les leur, affreuses, peu importe la taille qu'elles ont.

Pas du tout impressionné par l'apparence de l'autre, il croisa les bras, l'air hautain.

Le sourire de Cerbère ne l'Avait toujours pas quitté. En fait, c'était assez dur de le faire partir, il était à peu près toujours de bonne humeur, faisant souffrir les autres, les martyrisant, les violant... D'ailleurs, parlant de violer, l'envie se faisait de plus en plus sentir, mais valait mieu reprendre sa forme humaine. Disons que quand il grossissait ainsi, c'était tout qui grossissait, et il n'avait pas envie de briser son jouet tout de suite...

- Je suis un démon, tu t'attendait à quoi, des plumes toute douce de fillettes, comme les tiennes ! Pas très viril, selon moi, c'est bien pour ça que je n'aurais aucune problème de conscience à te forcer à faire tout ce que je veux.

Même s'il avait dit ça, il n'avança pas, restant accoté contre un lit, affichant fièrement osn membre encore dressé. Il passait doucement la plume sur son visage, la sentant au passage.

- Mmm, tu sens pas trop mauvais, pour un ange déchu. D'habitude, ils ont une odeur très désagréable de Paradis collé dessu, mais j'imagine que ta vie de dépravé t'en a débarassé en partie. Et je continue de dire que tu es loin d'être parfait. Alors laisse tomber ton air hautain, tu ne vaux pas grand chose ici, à part la valeur de ton petit cul !

Le sourire du démon était des plus agacants et malheureusement, il ne pouvait pas se téléporter ailleur pour l'enlever de sa vue. Soupirant, il s'accota finalement au mur derrière lui. Qui avait t-il d'autre à faire ? Il était coincé ici et ne pouvait pas sortir sans le consentement de l.autre imbécile de première.

-Venant d'un démon aussi minable que toi, je ne m'attendait pas à voir grand chose d'intéressant ou de beau en faite.

Légèrement dégoûté de voir sa plume, SA magnifique et douce plume à LUI, être passé sur le visage de l'autre et sentit par lui, d'un coup de vent il la fit revenir vers son vrai propriétaire. Plume maintenant en main, il la mit aussitôt dans l'une de ses poches. Elle était trop superbe pour être laisser a n'importe qui.

-Évite de toucher mes plumes ou tous ce qui à un lien avec moi. Je t'es dis que j'était trop magnifique pour toi. Car oui, peu importe ce que tu peu insinuer, je me sais parfait et rien de ce que tu pourras dire ou faire m'enlevera ce fait de la tête.

Même s,il était légèrement agacé de s'être fait enlevé son trophé, Cerbère s'amusait encore beaucoup avec le jeune homme. Avoir le pouvoir de le forcer à rester en sa présence était une chose des plus amusantes. Lentement, il s'approcha de sa proie, plaçant ses mains de chaque côté de sa tête, sur le mur, sourire narquois aux lèvres.

- Bien, supposons que tu sois aussi parfait que tu le prétends. Sache que je n'ai pas l'intention de te croire sur parole. Il me faut voire pour croire d'habitude. À moins que tu n'aie de meilleures idées. Ah, et c'est dans tout tes aspects que tu dois être parfait, pour mériter le titre que tu t'accorde. Alors, si tu veux que je cesse de te critiquer, prouve-le !

Toujours aussi mesquin, il bougea une main de sa place pour venir rechercher la plume dans la poche. Une fois en main, il vint la faire glisser doucement sur le visage de Gabriel, sur sa joue, ses lèvres, son cou. Mis à part cela, il ne touchait pas d'un poil à l'ange. Pourquoi le mettre en colère alors qu'avec un peu de manipulation il pourrait le mettre à ses genoux.

- Et je récupère ceci en passant, beauté.

Gabriel osa vaguement un sourcil moqueur alors qu'il fixait le démon en face de lui. Il le prennait pour un idiot ou quoi ?

-Le prouver ? Je me sais parfait, alors pourquoi perderais-je mon temps à le prouver ? Je ne suis pas un imbécile, loin de là, et je n'est pas l'intention de me laisser manipuler par toi. J'ai plus de 2500 ans, je ne suis pas né de la derniere pluie alors n'essaye pas de me berner.

L'ange ne bougea même pas en sentant la plume passer sur son visage, même s'il était un brin furieux qu'elle se retrouve entre les mains sales du démon. Pour l'instant, même si le directeut était trop proche à son goût, il ne sentait pas encore le besoin de se téléporter. S'il le touchait trop, alors là oui, il le ferait sans aucun doute.

-Alors trouve mieux si tu veux me voir complètement nu... ''Beauté''.

Le beauté avait été dit avec une pointe de sarcasme puisqu'il ne trouvait pas du tout le démon charmant. Il agissait comme un rustre, comme un véritable animal en rut, difficile de voir ce débile comme un égal ou un semblait d'égal.

Pas conne la biche, intéressante perspective. Ce serait un beau défi que d'Arriver à le soumettre. Retournant à son point d'origine, soit contre le lit, il continau de jouer avec la plume en main, la tenant plus fermement cette fois, pour ne pas qu'on lui arrache encore des mains. Il lâcha alors un petit rire moqueur.

- Bien sûr, les excuses. Dis plutôt que tu as peur parce que tu sais que tu n'es pas parfait ! Dans ces conditions, je persiste à croire que tu n'es pas si attirant, et je maintiendrait cette position tant que je n'aurai pas de preuve. Tu es imparfait, un point c'est tou. Moi, par contre ! Je suis assez désirable en mon genre. Mais je ne te cacherai pas que je suis tellement dangereux que les jeunes puceaux que je me fais ont peur la première fois, avant de se rendre compte que je suis un amant excellent. Tu sais, je connais des technique pour faire connaitre un plaisir hors du commun à mes victimes. Mais comme je ne prends que la qualité, ce qui n'Est pas ton cas, je risque de ne pas te les montrer. Toi qui adore tellement ça te faire prendre. C'est tellement dommage !

Maintenant, il faisait dévier la plume sur son torse. Il était bien vrai qu'elle était douce, mais le dire à l'ange serait lui faire trop plaisir. Néanmoins, Cerbère ne se retenait pas de fermer les yeux lorsqu'elle passait à des endrois sensibles de son anatomie, comme ses mamelons, les contours de son nombril, et bien entendu son membre.

L'ange roula des yeux avant de secouer légèrement la tête de gauche à droite, fesant bouger sa magnifique chevelure de braise. Il était complètement découragé par l'attitude et les paroles du démon. Ce fou croyait réellement qu'il se laisserait avoir avec des mensonges ? Finalement, il décida d'essayer de tourner les paroles de l'autre à son avantages.

-Tu as peut-être raison, je ne suis peut-être pas si parfait après tout. Quel dommage n'est-ce pas que tu me trouve aussi peu attirant, tu ne veux donc pas coucher avec moi. Je supose donc que tu va me laisser partir puisque je ne suis pas asser ''de Qualité'' pour toi.

Gabriel ne croyait pas un mot de ce qu'il disait. Il était parfait et il le savait. D'ailleur les paroles du démon prouvait qu'il mentait. Il ne le trouvait pas de qualité ? Ce n'est pourtant pas ce qu'il avait dit au début, sans oublier le fait qu'il le bloquait ici... et que maintenant il jouait avec quelque chose lui appartenant.

-Pour quelqu'un qui me trouve si peu attirant, tu semble te faire beaucoup de plaisir avec une seule de mes plumes.

Constata t-il en voyant le directeur se caresser avec sa plume. C'était presque répugnant à regarder. C'était SA plume, donc d'une manière détourner, c'était presque comme si c'était LUI qui était entrain de caresser le démon. Abselument dégoûtant !